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Lo más importante para escribir

¿Qué es lo más importante para escribir en estos tiempos de Internet? La técnica viene bien. La facilidad de palabra no estorba. Un buen estilo es útil para brillar, para alzarse en medio del llano. Cuanto mejor engrasada esté la maquinaria del lenguaje, mejor responderá a las órdenes de nuestro cerebro, más suavemente nos conducirá a nuestra meta. Sin embargo, lo más importante no es saberse al dedillo las reglas de ortografía ni tener una sintaxis perfecta. Lo verdaderamente importante es tener algo que decir.

La Red está llena de repetidores, de antenas que se despliegan para lanzar amplificadas las voces que han captado en otro sitio, modificándolas quizás levemente. De lo que no andamos sobrados es de emisores, de centros de actividad desde donde surjan ondas nuevas, originales, inconfundiblemente personales.

Son muchos los que abren un blog o una cuenta en redes sociales para encontrarse a las pocas semanas con que se les acaba la cuerda. De pronto se ven con un megáfono entre las manos, pero no se les ocurre nada que contar o no se atreven. ¿Qué hacen? Repetir lo que va diciendo el de al lado o, simplemente, entonar la misma cantinela que todo el mundo procurando no desentonar. Si tú introduces una línea nueva en este coro, alguien te acompañará. No faltan altavoces, faltan voces que amplificar.

Tú también tienes algo que decir si descubres ese algo en lo que puedes ser el mejor. Es algo que solamente tú eres capaz de contar o quizás una manera de contarlo de la que solo tú eres capaz. Cuando das con esa vena, tus ideas no se agotan después de cuatro artículos. Cuanto más dices, más te queda por decir. Al final el problema no es andar luchando por encontrar un tema nuevo cada día, sino hacer frente a una tarea ingente que se va acumulando sin que se le adivine un final.

Aprender a decirlo bien es cuestión de tiempo y de voluntad. Habrá que conseguir que el lenguaje trabaje para ti y no en tu contra. Ve puliendo y afinando la expresión, pero el recorrido va de la idea a la palabra y no al revés.

TROUSSE À OUTILS POUR TRADUCTEURS INDÉPENDANTS

Les traducteurs sont des individus intelligents, d’avides lecteurs, d’insatiables curieux, des chercheurs hors pair et des linguistes troisième dan, mais lorsqu’ils font le choix d’exercer leur métier en tant qu’indépendants il leur faut acquérir rapidement de nouvelles compétences pour créer et développer l’entreprise qui leur permettra de vivre de leurs multiples talents. Pour accélérer cet apprentissage et vous éviter de vous perdre sur Internet en quête d’une réponse à vos interrogations sur les subtilités de la stratégie de niche et de l’abattement forfaitaire, je vous propose ci-dessous une petite trousse à outils de l’entrepreneur, véritable couteau suisse du traducteur indépendant :

LIVRES ET E-BOOKS

J’ai déjà consacré un billet aux ouvrages que je recommande à toute personne désireuse de se lancer en traduction. Si vous ne l’avez pas encore parcouru, je vous conseille donc d’y jeter un œil et vous propose les ajouts suivants (hélas tous en anglais) :

Deuxième édition de l’excellent ouvrage de Corinne McKayHow to Succeed as a Freelance Translator, ce livre est un véritable manuel d’instructions à l’usage de tous les nouveaux venus de la profession (même s’il s’adresse d’abord à des lecteurs américains). Cette version a été aérée et mise à jour pour inclure, notamment, plus d’information sur l’utilisation d’Internet et des réseaux sociaux. Accessible et optimiste, il sert également de base à une formation en ligne (payante) dispensée par son auteur.

 

On ne présente plus Marta Stelmaszak, traductrice et interprète d’origine polonaise, résidant au Royaume-Uni et chantre de la gestion d’entreprise auprès des traducteurs. Son livre intitulé The Business Guide for Translators, publié en octobre dernier, est disponible en version numérique et papier. Bourré d’exercices et d’éléments interactifs, il incorpore des concepts de marketing enseignés dans les grandes universités et écoles de commerce et les applique aux entreprises de traduction.

 

101 Things a Translator Needs to Know, est un recueil de conseils pratiques, aéré et illustré, préparé par le WLF Think Tank une association informelle de traducteurs mondialement connus (au sein de notre profession en tout cas). En s’appuyant sur leurs 500 ans d’expérience collective dans divers domaines de la traduction (technique, littéraire, audiovisuelle, etc.), ils expliquent comment un traducteur doit penser et agir pour réussir.

 

Nicole Y. Adams, traductrice renommée spécialisée en marketing, relations publiques et communication d’entreprise, offre généreusement sur son site plusieurs publications numériques remplies de précieux conseils pour promouvoir vos services, aussi bien en ligne qu’en personne, auprès d’agences de traduction que de clients directs. Parmi toutes ces pépites, The Bright Side of Freelance Translation coécrit avec Andrew Morris, est un formidable recueil de témoignages pour vous redonner le moral et la foi en vos capacités à développer votre activité.

 

The translation sales handbook de Luke Spear est un excellent ouvrage pour tout traducteur cherchant à développer son entreprise. Clair et concret, il se concentre sur une part essentielle de notre activité : la vente, ou comment accroître ses revenus en vendant plus et plus cher. À ce titre, le le recommande tout particulièrement aux nouveaux traducteurs, qui éviteront ainsi certaines erreurs classiques de débutant. Entre autres, l’idée de facturer ses prestations au forfait plutôt qu’au nombre de mots est intéressante et mérite d’être explorée.

 

Gourou de la technologie auprès de l’American Translator Association, Jost Zetzsche, publie un document de 400 pages, intitulé The Translator’s Tool Box. Régulièrement mis à jour, il contient tout ce qu’un traducteur doit savoir pour bien maîtriser les outils informatiques qui peuvent lui simplifier la tâche et augmenter sa productivité. En plus de cet ouvrage disponible en format PDF, vous recevrez la version premium du bulletin d’information (The Tool Box Journal) que son auteur publie chaque mois.

 

BLOGS ET BULLETINS

  • Blogs de traducteurs : la traductosphère est peuplée de blogueurs, plus ou moins spécialisés, prêts à partager leur expérience et leurs bons plans avec les petits nouveaux. Pour trouver ces gisements d’information, rendez-vous sur les sites de Nathalie Renevier (Alp-Traduction) et de Patricia Bathélémy (Patoudit). Vous pouvez aussi consulter la liste de billets recommandés par les Piles intermédiaires.

 

CALCULATRICES, CONVERTISSEURS ET SIMULATEURS

  • Freelance hourly rate calculator : sur le même principe que le précédent, cet outil en ligne permet d’établir un tarif horaire à partir de vos coûts, du nombre d’heures facturables et des bénéfices que vous souhaitez réaliser. Dommage qu’il ne tienne pas compte des charges sociales et fiscales !
  • Convertisseur de tarifs : cette calculatrice est avant tout destinée aux traducteurs rémunérés en droits d’auteur (dits traducteurs littéraires), mais peut aussi rendre service aux traducteurs techniques pour convertir leur tarif de langue source en langue cible (en tenant compte du taux de foisonnement), du mot à la ligne, au signe ou au feuillet ou encore de passer d’un forfait à un autre mode de tarification.
  • Convertisseur de devises : ne me demandez pas pourquoi, mais j’utilise exclusivement le convertisseur de devises de la société OANDA. S’il en existe bien d’autres, je le trouve particulièrement pratique : accessible en ligne, il vous donne le taux de change pour n’importe quelle combinaison de monnaies, à n’importe quelle date. Vous pouvez aussi suivre l’évolution des cours, pour identifier le moment le plus opportun pour transférer des fonds.
  • Aide au choix du statut : cet outil interactif permet de trouver le statut d’entreprise le plus approprié en répondant à quelques questions.
  • Simulateur de charges sociales et fiscales : développé par l’Ordre des Experts-Comptables en partenariat avec l’Agence France Entreprises, ce simulateur gratuit permet de comparer dans un même tableau le coût social et fiscal du régime de l’auto-entrepreneur avec celui de la micro-entreprise et du régime réel de déclaration contrôlée, afin de choisir l’option la plus favorable.
  • Simulateur EIRL/EURL : autre simulateur proposé par l’Ordre des Experts-Comptables, celui-ci compare l’entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL) avec l’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL) qui offre le choix entre imposition sur le revenu ou sur les sociétés.
  • Calculatrice de charges pour l’auto-entrepreneur : comme son nom l’indique, cette calculatrice permet d’évaluer le montant total des charges et des cotisations à verser par l’auto-entrepreneur en fonction de son chiffre d’affaires et de l’option de versement libératoire de l’impôt sur le revenu. Attention, en tant que traducteur, vous exercez une « activité libérale relevant de la caisse d’assurance vieillesse de la Cipav ».

 

SOURCES OFFICIELLES

  • URSSAF (Union pour le Recouvrement des cotisations de la Sécurité sociale et des Allocations familiales) : l’URSSAF assure la collecte des cotisations d’allocations familiales et les contributions CSG et CRDS ainsi que la contribution à la formation professionnelle des travailleurs indépendants que nous sommes, afin de financer la protection sociale de tous les Français. Présent dans chaque région, c’est notre interlocuteur privilégié, représentant l’ensemble des organismes de protection sociale, au moment de la création, de la modification et de la cessation de notre activité.
  • RSI (Régime social des indépendants) : régime de sécurité sociale obligatoire des indépendants. Les prestations d’assurance maladie-maternité sont gérées, pour le compte du RSI, par une mutuelle ou une société d’assurance que vous avez choisie lors de votre inscription auprès du Centre de formalité des entreprises (CFE). C’est donc à cet organisme que vous devez vous adresser en priorité avant de contacter éventuellement votre caisse RSI.
  • Portail officiel de l’autoentrepreneur : site d’information officiel sur le régime de l’auto-entreprise, sur lequel vous pouvez vous inscrire en tant qu’auto-entrepreneur, puis déclarer vos recettes et payer vos cotisations. Pour se renseigner, la liste de questions/réponses est particulièrement complète, mais vous pouvez aussi utiliser le portail pour prendre contact avec votre URSSAF et télécharger les attestations prouvant que vous êtes en règle avec l’administration.
  • Net-entreprises : ce site est un service gratuit proposé par l’ensemble des organismes de protection sociale aux entreprises et à leurs mandataires (experts-comptables, centres de gestion agréés, etc.) pour effectuer et régler par internet toutes leurs déclarations sociales.

 

ALLIÉS ET PARTENAIRES

  • Agence France Entrepreneur (AFE) : les fidèles lecteurs de ce blog connaissent déjà l’AFE à laquelle je fais souvent référence. Cet organisme, créé il y a 35 ans à l’initiative des pouvoirs publics, est une mine d’or pour les créateurs et les chefs d’entreprise français. Vous y trouverez des informations claires et mises à jour pour répondre à vos questions et orienter vos démarches.
  • Centres de gestion agréés (CGA) : les CGA sont des associations ayant pour mission d’assister les petites entreprises en matière de gestion et de fiscalité, tout en jouant un rôle dans la prévention des difficultés. À ce titre, ils organisent des séances d’information et de formation spécialement conçues pour les gérants de petites entreprises et leur fournissent une analyse des informations économiques, comptables et financières. Adhérer à un CGA n’est pas obligatoire, mais les entreprises soumises à un régime réel d’imposition qui ne le font pas voient leur bénéfice imposable majoré de 25 % avant d’être soumis au barème progressif par tranches de l’impôt sur le revenu. Pour trouver un centre, sollicitez l’avis de vos collègues et consultez l’annuaire de la Fédération des centres de gestion agréés (FCGA)
  • Organismes de formation : j’ai déjà abordé ce sujet dans un billet sur la formation professionnelle, mais retenez que les trois sites suivants proposent toute l’année de nombreux ateliers en ligne destinés aux traducteurs : la SFTeCPD et ProZ.

 

AUTRES RESSOURCES UTILES

  • Applications mobiles : il existe des milliers d’applications très utiles pour améliorer la productivité des entrepreneurs. Mes préférées sont Feedly (agrégateur de flux RSS pour consulter tous vos blogs préférés sur un seul site), Dropbox (stockage et partage de documents), Evernote (pour tout noter et garder sous la main listes, photos, documents, sites web, etc.), Pocket (outil très pratique pour mettre instantanément de côté des articles à lire plus tard), Dashlane (gestionnaire de mots de passe et portefeuille numérique) et Hootsuite(gestion centralisée des réseaux sociaux).
  • Calendrier de salons : pour trouver des clients directs, rien ne vaut les salons professionnels et pour trouver le salon qu’il vous faut selon votre domaine de spécialisation, vous pouvez consulter le calendrier des salons, foires et évènements organisés en France de l’Union française des métiers de l’évènement (UNIMEV).
  • Sources terminologiques : là encore, Les Piles intermédiaires nous sauve (nt ?) la mise avec une magnifique liste de glossaires et autres ressources en ligne à faire pleurer de joie tout bon linguiste. Côté outils, l’Unité coordination de la terminologie (TermCoord) du Parlement européen vous donne accès à plusieurs ressources très utiles, dont la base de données terminologique des institutions européennes IATE et un moteur de recherche pour trouver des glossaires. Vous pouvez aussi installer sur votre ordinateur l’extension de l’excellent Centre national de ressources textuelles et lexicales (CNTL) (pour Firefox) et IntelliWebSearch, un outil pour automatiser vos recherches sur Internet (et dans les dictionnaires électroniques) afin d’améliorer votre productivité.

 

Voilà, c’est tout pour l’instant, mais j’ai sûrement oublié d’autres outils précieux. Alors si vous connaissez une pépite, n’hésitez pas à la partager avec les lecteurs de ce blog !

 

Pour aller plus loin :


À propos de l’auteur

Professionnelle accréditée en commerce international ayant travaillé plusieurs années comme conseillère pour les PME, Gaëlle Gagné est devenue traductrice indépendante en 2005. À la tête de Trëma Translations, elle traduit de l’anglais vers le français et partage ses connaissances en gestion d’entreprise avec ses collègues traducteurs dans un blog intitulé Mes petites affaires.

CONSEJOS PARA EVITAR IMPAGOS Y ESTAFAS A TRADUCTORES

Poder realizar tu trabajo a través de internet tiene ventajas, pero también inconvenientes. Por desgracia, no es infrecuente leer comentarios y experiencias de compañeros que han sido víctimas de estafas, impagos y otras desgracias que afectan al bolsillo. Veamos algunos trucos y consejos para prevenir alguna de estas situaciones en la medida de lo posible.

ANTES DE ACEPTAR EL ENCARGO

Un cliente nuevo se pone en contacto contigo y te pide presupuesto. ¡Qué alegría! Antes de pedirle archivos (si no te los ha mandado), busca al cliente en internet. También en el BlueBoard y busca menciones en alguna lista de traducción como TRAD o grupos de traductores de FB. Si encuentras información positiva, ¡adelante con el presupuesto! Si no te convence lo que encuentras, deberás valorar si quieres arriesgarte. Si no aparece ningún dato relevante o no das con el cliente en internet no es mala señal, pero tendrás que tomar precauciones adicionales.

CLIENTES PARTICULARES

En este caso, nada te impide hacerle un presupuesto en el que indiques que el abono debe realizarse por adelantado. Esta sería la opción más segura. Si tienes la documentación original, puede servirte como garantía de que el cliente pasará a buscar la traducción y, en tal caso, el pago a la entrega también sería una opción.

AGENCIAS DE TRADUCCIÓN O COMPAÑEROS TRADUCTORES/INTÉRPRETES U OTRAS EMPRESAS O ENTIDADES

Si se pone en contacto contigo una empresa de traducción de la que no encuentras referencias, tendrás que analizar un poco la información que encuentres en internet. ¿Cómo es su página web? ¿Tiene un apartado de “Quiénes somos” en el que haya más datos sobre las personas que conforman la empresa? ¿Aparecen datos de contacto como dirección, teléfono, etc.? ¿Quién es el dueño? ¿Está en Linkedin la persona que te ha escrito? ¿A nombre de quién está el dominio? ¿Te escriben desde una dirección de correo del dominio o es una cuenta gratuita? Si no hay rastro de estas personas y la página web no te da buena espina, lo mejor sería no arriesgarse. Si prefieres coger el trabajo, es importantísimo que pidas número de identificación fiscal, dirección y teléfono. Además, guarde toda la documentación y pide o emita tú mismo una orden de pedido con todos los datos del encargo (volumen, fecha de entrega, identificación del cliente y plazos de pago).

En el caso de que se tratase de otro tipo de empresas ajenas al sector, tendrías que hacer una investigación similar a la indicada en el párrafo anterior. Aunque en este caso podrías pedir pago por adelantado o el 50 % antes de empezar a traducir. Aunque no se estile en el sector de la traducción, hay otros sectores en los que es lo más normal del mundo. Y, ten en cuenta, que al final el que pone las condiciones en tu negocio eres tú. ?

Mención aparte merecerían las administraciones públicas, ya que suelen tener sus propios procesos y plazos de pago. Aquí son lentejas: o las tomas o las dejas.

¿Y SI NO ME PAGAN LA TRADUCCIÓN?

En el caso de que, a pesar de que ese cliente nuevo pareciera solvente, el pago no se realice en el pago acordado, deberías actuar inmediatamente. Ponte en contacto con el cliente por el medio con el que se comunicó habitualmente contigo durante el encargo e indícale, siempre en un tono profesional, que no has recibido el pago acordado. Quizá haya sido un simple descuido o ya te lo ha enviado pero no lo has recibido todavía en tu banco. Si te comenta otro tipo de problemas y, en función de si te convence o de si compensa ser flexible, deberás pedirle el pago en X días y gestionar la situación según si te paga o no en la nueva fecha acordada.

Si no consigues ponerte en contacto con el cliente en un tiempo prudencial o en el supuesto de que te ponga excusas para pagarte, podrías recurrir al envío de un burofax. Aquí se explica su funcionamiento. Si sigue sin dar resultado, el siguiente paso en serio sería el procedimiento monitorio. En el blog El Gascón Jurado se detalla en qué consiste y cuáles son los pasos a seguir.

Evidentemente, meterse en jaleos de esta envergadura va a depender, por un lado, del importe de la factura y, por otro, de tu paciencia para insistir. Si se trata de importes elevados o si conoces a otras personas afectadas por impagos de ese mismo cliente, incluso podría salir a cuenta buscar a un abogado que se haga cargo del asunto por nosotros o, llegado el extremo, que lleve la reclamación por vía judicial.

Aunque cada caso será diferente, espero que este resumen de consejos para evitar estafas o impagos os sirva specialmente para prevenir estas situaciones y que os paguen siempre.